1 [T][P] 27.06.2008 - 12.07.2008 : USA
Mar 15 Juil 2008 - 21:26
Buba
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Ville : SXb
Date d'inscription : 04/03/2006
Jour 1 et 2
L'histoire commence un vendredi, dont je vous épargnerai l'ennuyant mais nécéssaire voyage vers l'Amérique...
Nous sommes 4, Adrien, Anthony, Yannick et moi-même, en vol vers New York... Et voilà, on a battu le Titanic...! (mauvais humour après 8 heures de vol)
- L'Amérique ... !
- Non, Non, New York.
"New York, to that tall skyline I come, flyining from London to your door..."
Depuis le temps que je rêve de trouver cet endroit mythique, nous y voilà. Le soleil tape fort, la chaleur est étouffante, l'air est irréspirable, charmant accueil.
Mais ne perdons pas de temps, il est 17 heure, demain soir il faudra déjà avoir bouclé notre visite !
Nous retrouvons Anthony à l'hôtel dans l'Upper West Side tout près de Central Park, on pose les baggages et on file dans le métro, jusqu'à Penn Station à l'ombre de Madison Square Garden ou plus connu, l'Empire State Building. Une prouesse technique de l'acier pour les années 30, et, époque oblige, couverte de béton moulé art déco.
Digne ville américaine, New York s'établie en damier, si bien que les avenues s'étendent à perte de vue. Ce qui est loin parait à porté de main ou de pied. Belle illusion, pauvres pieds... On finit par oublier le nécéssaire métro. Mais la surface est tellement plus attrayante que le douteux sous sol.
Après la tour géante, retour à la raison et au début du siècle dernier avec le Flatiron Building (fer à repasser).
Plus haut batiment de son époque, il est surtout un autre emblème de la ville pour sa curieuse forme, à l'angle de la 5e et de Broadway.
Continuons sur la 5e en oubliant encore le métro, direction Greenwich Village, ou, the Village. Quartier des artistes et des gays, pittoresque bout de New York, vert, coloré et anarchique.
Quoi qu'il en soit, l'Empire State gayte... ( )
La photo n'est pas mal prise, mais il y a un chantier ET elle est mal prise, nuance !
Et oui, comme vous avez pû le remarquer plus haut, c'est aussi le lieu de vie des amis les plus célèbres de la télévision !
On trouvera notament dans ce quartier dans un pub bien new yorkais, le meilleur burger de la ville, dans un cadre très irlandais, avec un mobilier qu'on dirait qu'il supporte les siècles... charmant !
La soirée se passera dans le coin, avant de remonter, à pied, la 8e jusqu'à Times Square, là où la nuit n'existe pas. On finira tard, pour rentré à l'hôtel en taxi, exténués.
Le lendemain, après avoir contempler au moins 7 à 8 secondes notre vue de chambre d'hôtel (vieux NY et ses chateaux d'eau), Central Park l'original sera notre première destination, vers 9 heure alors que le soleil tape déjà bien comme il faut. On passera obligatoirement par les grandes résidences jouxtant le parc: San Remo, le Dakota...
C'est ici que vivait l'utopiste génie John Lennon, avant d'être assassiné au pied de l'immeuble en décembre 1980. Yoko Ono, sa femme, y réside toujours.
C'est tout en face que se trouve la portion de jardin parainnée par Yoko Ono, le Strawberry Field, du nom d'une célèbre chanson des Beatles.
Voilà la bien célèbre mozaïque, au nom de la chanson qu'on dit qu'elle est la plus belle de l'histoire.
Une vue du somptueux San Remo, repère de Stars, forcément. Un des 4 batiments à tours jumelles construits autour du parc.
Grand amateur d'un grand artiste américain, je me dois de poser mes fesses au même endroit que lui, dominant the Great Lawn (grande pelouse), l'endroit où il a donné deux des plus gros concerts de l'histoire. Petite séquence émotion devant une scène que j'aurais aimé vivre. Les concerts géants de CP me fascinent, pour leur cadre, leur ambiance qui doit être démentielle, et celui qui coordonne les applaudissements d'un million de personnes en même temps.
The Great Lawn justement, accessoirement le plus beau point de vue de la ville depuis le parc.
Tiens une photo de nous comme ça c'est fait: de gauche à droite - Adrien, Yannick (Nastico), moi et Anthony. Vala.
Continuons avec LA déception: le musée Guggenheim. Alors comme on passe trop rapidement en ville et qu'on est pas forcément avec les premiers intéressés, pas de visite de musée, mais bon, le hall de celui-ci s'imposait comme une évidence. Seulement, ce fameux chef d'oeurve de l'architecte américain Franck Lloyd Wright subit une réhab depuis 2005 qui devait se finir en 2007. C'est donc avec un bonheur disproportionné que je découvre que le coquillage est toujours derrière les échafaudages. Après quelques noms d'oiseaux, on finit pas entrer sous la paisible rotonde, pour observer cette sobre et douce structure toujours en mouvement...
C'est choli , c'est pure !
On prends ensuite la 5e vers le sud, destination l'ONU.
On passe d'ailleurs devant la maison de M. Shefield pour ceux qui connaissent une Nounou d'enfer (the Nanny).
Vertigineuse perspective !
Célèbre sculpture
Célèbre vue pour ceux qui connaissent Bernard et Bianca, ou plus cultivés, qui suivent en cours de géo.
Pas très loin, le plus bel exemple art déco de la ville, le tout à fait célèbre Chrysler Building et sa merveilleuse flèche. Mon préféré, et franchement je dois pas être le seul.
On sent bien là l'inspiration de Tim Burton pour ses Batman, cet art déco gothiquisant... surtout en pénétrant dans le hall de l'immeuble, froid, sombre.
L'architecte des Petronas est un vrai génie dites-moi, je me demande où il a été chercher sa créativité !
Taxis et tour, une vraie carte postale !
On fait un crochet par le Grand Central Terminal qui voit passer en un mois ce que Disney Paris prétend accueillir chaque année et en une semaine ce qu’Europa-Park voit passer dans le même laps de temps.
On rejoins le Rockfeller Center, centre commercial géant art déco pour changer, connu pour son sapin de Noël. L’intérieur est tout à fait digne des deux premiers volets de Batman : marbre noir, peu de lumière, et la clim ne fait qu’amplifier ce sentiment. Heureusement que Mies Van der Rohe est passé par là…
On aperçoit la cathédrale Saint Patrick, élément néogothique tâche et ridicule au sein du tissu urbain. En rail vers le sud, on sort à la porte de Chinatown sur Broadway.
Trottoirs bondés de monde et de vendeurs de hot dogs à 1.99$. Welcome in NYC !
A l’entrée du Financial District, seconde partie « haute » de Manhattan avec celle entre l’ONU et l’Empire State, la plus contemporaine, se trouve la « tour cathédrale ».
Magnifique tour néogothique avec sa très riche coiffe digne du mouvement, étirée vers le ciel.
Sur ce même square se tient le City Hall, vu dans Spin City avec Mickael J.Fox et Charlie Sheen. C’est justement à cet endroit que le pont de Brooklynn prend son envol. Suivons-le !
On est pas les seul, mais il nous tend ses bras. Voilà les portes de New York, en tout cas c’est ce que représentent les piles selon son architecte.
Le pont nous tend les bras et nous ouvre les portes de New York, en effet, on comprend mieux !
Ceci étant fait, c’est l’heure de s’engouffrer dans le centre des affaires par excellence avec la fameuse entrée de Wall Street, LA bourse. Le drapeau rappelle dans quel pays nous nous trouvons.
Ici c’est à nouveau très haut, plus moderne, les rues sont aussi plus étroites et sinueuses.
Puis, sur les bords de l’East River nous attendait un hélico, surprise du magique organisateur qu’est Anthony. On survol la ville, et c’est simplement un bonheur inqualifiable.
On finit par un tour autour de la plus grande alsacienne de l’histoire, la mère de Bartholdi plus connue sous le nom de Statue de la Liberté.
A l’arrivé, c’est l’orage bien puissant bien maritime qui nous bloquera une petite heure sous un abris de fortune. Cette mésaventure nous mènera tout droit vers Ground Zero. Endroit que je souhaitais éviter, je n’aime pas vraiment ces sites à mauvais curieux. Mais en passant devant, en se concentrant et en faisant preuve de bonne foi, en effet, on voit… un trou ! Ca valait le coup d’œil.
Une vue… pittoresque comme on en connaît plein, juste après l’orage, sur la route de l’Empire State et du Wendy’s !
Autre vue d'après tempête, tout aussi charmante.
Dark comes...
Il est temps de boutiquer sur la 5e et Times Square.
En photo, c’est pas beau et ça ne ressemble à rien, surtout quand la photo est ratée…
Là ça va, mais c'est vraiment pas significatif !
Demain est un autre jour, demain, c’est Kingda Ka !
L'histoire commence un vendredi, dont je vous épargnerai l'ennuyant mais nécéssaire voyage vers l'Amérique...
Nous sommes 4, Adrien, Anthony, Yannick et moi-même, en vol vers New York... Et voilà, on a battu le Titanic...! (mauvais humour après 8 heures de vol)
- L'Amérique ... !
- Non, Non, New York.
"New York, to that tall skyline I come, flyining from London to your door..."
Depuis le temps que je rêve de trouver cet endroit mythique, nous y voilà. Le soleil tape fort, la chaleur est étouffante, l'air est irréspirable, charmant accueil.
Mais ne perdons pas de temps, il est 17 heure, demain soir il faudra déjà avoir bouclé notre visite !
Nous retrouvons Anthony à l'hôtel dans l'Upper West Side tout près de Central Park, on pose les baggages et on file dans le métro, jusqu'à Penn Station à l'ombre de Madison Square Garden ou plus connu, l'Empire State Building. Une prouesse technique de l'acier pour les années 30, et, époque oblige, couverte de béton moulé art déco.
Digne ville américaine, New York s'établie en damier, si bien que les avenues s'étendent à perte de vue. Ce qui est loin parait à porté de main ou de pied. Belle illusion, pauvres pieds... On finit par oublier le nécéssaire métro. Mais la surface est tellement plus attrayante que le douteux sous sol.
Après la tour géante, retour à la raison et au début du siècle dernier avec le Flatiron Building (fer à repasser).
Plus haut batiment de son époque, il est surtout un autre emblème de la ville pour sa curieuse forme, à l'angle de la 5e et de Broadway.
Continuons sur la 5e en oubliant encore le métro, direction Greenwich Village, ou, the Village. Quartier des artistes et des gays, pittoresque bout de New York, vert, coloré et anarchique.
Quoi qu'il en soit, l'Empire State gayte... ( )
La photo n'est pas mal prise, mais il y a un chantier ET elle est mal prise, nuance !
Et oui, comme vous avez pû le remarquer plus haut, c'est aussi le lieu de vie des amis les plus célèbres de la télévision !
On trouvera notament dans ce quartier dans un pub bien new yorkais, le meilleur burger de la ville, dans un cadre très irlandais, avec un mobilier qu'on dirait qu'il supporte les siècles... charmant !
La soirée se passera dans le coin, avant de remonter, à pied, la 8e jusqu'à Times Square, là où la nuit n'existe pas. On finira tard, pour rentré à l'hôtel en taxi, exténués.
Le lendemain, après avoir contempler au moins 7 à 8 secondes notre vue de chambre d'hôtel (vieux NY et ses chateaux d'eau), Central Park l'original sera notre première destination, vers 9 heure alors que le soleil tape déjà bien comme il faut. On passera obligatoirement par les grandes résidences jouxtant le parc: San Remo, le Dakota...
C'est ici que vivait l'utopiste génie John Lennon, avant d'être assassiné au pied de l'immeuble en décembre 1980. Yoko Ono, sa femme, y réside toujours.
C'est tout en face que se trouve la portion de jardin parainnée par Yoko Ono, le Strawberry Field, du nom d'une célèbre chanson des Beatles.
Voilà la bien célèbre mozaïque, au nom de la chanson qu'on dit qu'elle est la plus belle de l'histoire.
Une vue du somptueux San Remo, repère de Stars, forcément. Un des 4 batiments à tours jumelles construits autour du parc.
Grand amateur d'un grand artiste américain, je me dois de poser mes fesses au même endroit que lui, dominant the Great Lawn (grande pelouse), l'endroit où il a donné deux des plus gros concerts de l'histoire. Petite séquence émotion devant une scène que j'aurais aimé vivre. Les concerts géants de CP me fascinent, pour leur cadre, leur ambiance qui doit être démentielle, et celui qui coordonne les applaudissements d'un million de personnes en même temps.
The Great Lawn justement, accessoirement le plus beau point de vue de la ville depuis le parc.
Tiens une photo de nous comme ça c'est fait: de gauche à droite - Adrien, Yannick (Nastico), moi et Anthony. Vala.
Continuons avec LA déception: le musée Guggenheim. Alors comme on passe trop rapidement en ville et qu'on est pas forcément avec les premiers intéressés, pas de visite de musée, mais bon, le hall de celui-ci s'imposait comme une évidence. Seulement, ce fameux chef d'oeurve de l'architecte américain Franck Lloyd Wright subit une réhab depuis 2005 qui devait se finir en 2007. C'est donc avec un bonheur disproportionné que je découvre que le coquillage est toujours derrière les échafaudages. Après quelques noms d'oiseaux, on finit pas entrer sous la paisible rotonde, pour observer cette sobre et douce structure toujours en mouvement...
C'est choli , c'est pure !
On prends ensuite la 5e vers le sud, destination l'ONU.
On passe d'ailleurs devant la maison de M. Shefield pour ceux qui connaissent une Nounou d'enfer (the Nanny).
Vertigineuse perspective !
Célèbre sculpture
Célèbre vue pour ceux qui connaissent Bernard et Bianca, ou plus cultivés, qui suivent en cours de géo.
Pas très loin, le plus bel exemple art déco de la ville, le tout à fait célèbre Chrysler Building et sa merveilleuse flèche. Mon préféré, et franchement je dois pas être le seul.
On sent bien là l'inspiration de Tim Burton pour ses Batman, cet art déco gothiquisant... surtout en pénétrant dans le hall de l'immeuble, froid, sombre.
L'architecte des Petronas est un vrai génie dites-moi, je me demande où il a été chercher sa créativité !
Taxis et tour, une vraie carte postale !
On fait un crochet par le Grand Central Terminal qui voit passer en un mois ce que Disney Paris prétend accueillir chaque année et en une semaine ce qu’Europa-Park voit passer dans le même laps de temps.
On rejoins le Rockfeller Center, centre commercial géant art déco pour changer, connu pour son sapin de Noël. L’intérieur est tout à fait digne des deux premiers volets de Batman : marbre noir, peu de lumière, et la clim ne fait qu’amplifier ce sentiment. Heureusement que Mies Van der Rohe est passé par là…
On aperçoit la cathédrale Saint Patrick, élément néogothique tâche et ridicule au sein du tissu urbain. En rail vers le sud, on sort à la porte de Chinatown sur Broadway.
Trottoirs bondés de monde et de vendeurs de hot dogs à 1.99$. Welcome in NYC !
A l’entrée du Financial District, seconde partie « haute » de Manhattan avec celle entre l’ONU et l’Empire State, la plus contemporaine, se trouve la « tour cathédrale ».
Magnifique tour néogothique avec sa très riche coiffe digne du mouvement, étirée vers le ciel.
Sur ce même square se tient le City Hall, vu dans Spin City avec Mickael J.Fox et Charlie Sheen. C’est justement à cet endroit que le pont de Brooklynn prend son envol. Suivons-le !
On est pas les seul, mais il nous tend ses bras. Voilà les portes de New York, en tout cas c’est ce que représentent les piles selon son architecte.
Le pont nous tend les bras et nous ouvre les portes de New York, en effet, on comprend mieux !
Ceci étant fait, c’est l’heure de s’engouffrer dans le centre des affaires par excellence avec la fameuse entrée de Wall Street, LA bourse. Le drapeau rappelle dans quel pays nous nous trouvons.
Ici c’est à nouveau très haut, plus moderne, les rues sont aussi plus étroites et sinueuses.
Puis, sur les bords de l’East River nous attendait un hélico, surprise du magique organisateur qu’est Anthony. On survol la ville, et c’est simplement un bonheur inqualifiable.
On finit par un tour autour de la plus grande alsacienne de l’histoire, la mère de Bartholdi plus connue sous le nom de Statue de la Liberté.
A l’arrivé, c’est l’orage bien puissant bien maritime qui nous bloquera une petite heure sous un abris de fortune. Cette mésaventure nous mènera tout droit vers Ground Zero. Endroit que je souhaitais éviter, je n’aime pas vraiment ces sites à mauvais curieux. Mais en passant devant, en se concentrant et en faisant preuve de bonne foi, en effet, on voit… un trou ! Ca valait le coup d’œil.
Une vue… pittoresque comme on en connaît plein, juste après l’orage, sur la route de l’Empire State et du Wendy’s !
Autre vue d'après tempête, tout aussi charmante.
Dark comes...
Il est temps de boutiquer sur la 5e et Times Square.
En photo, c’est pas beau et ça ne ressemble à rien, surtout quand la photo est ratée…
Là ça va, mais c'est vraiment pas significatif !
Demain est un autre jour, demain, c’est Kingda Ka !
Dernière édition par Buba le Ven 18 Juil 2008 - 16:13, édité 25 fois